LE THERAPEUTE SAHAJA YOGI ET FLEURS DE BACH

Le Sahaja Yogi est son propre propre thérapeute
Avec Sahaja Yoga, on apprend à se diagnostiquer et à se soigner soi-même.
L'éveil de la kundalini permet au Yogi, dès le début, de rentrer dans une nouvelle conscience vibratoire. Il peut alors sentir les sources de ses disharmonies, identifier leur nature et leur localisation, dans son propre système énergétique, et les ré-harmoniser.

La kundalini, cette énergie subtile reconnue par toutes les traditions, monte, une fois éveillée, le long de la colonne vertébrale et sort au niveau de la fontanelle. Elle relie le Sahaja Yogi à un niveau supérieur spirituel. Elle nourrit au passage tout son système sur les quatre plans: physique, mental, émotionnel et spirituel.

Elle est la source de toute spiritualité, la source intérieure de Vie.
Le Yogi, lorsqu'il médite, entre dans un état de conscience sans pensée. Son mental est au repos et n'intervient quasiment pas. C'est cependant en toute conscience qu'il dirige son attention sur les plexus nerveux qui sont dans son système subtil. Il sollicite ainsi l'énergie spirituelle provenant de la kundalini à laquelle il est relié en permanence. Celle-ci se dirige sur le point où se porte l'attention du Yogi, le renseigne sur l'état vibratoire de chacun de ses centres d'énergie. Elle revitalise les chakras qui, à leur tour, vont s'harmoniser et nourrir le corps entier sur les quatre plans.Le Yogi utilise également les éléments comme l'eau, la terre, le feu, etc... pour nettoyer ses centres énergétiques (techniques décrites plus haut dans le blog).

Ainsi, le Sahaja Yogi est à la fois son propre patient et son propre thérapeute.
Non seulement il peut, ainsi, travailler à sa propre guérison en étant son propre maître, mais il peut également éveiller en lui des qualités qui n'existeraient qu'à l'état de potentialité si elles n'étaient pas éveillées spirituellement.

Le thérapeute Fleurs de Bach


Le thérapeute, avant de travailler sur quelqu'un, examine son âme. Il ne doit commencer que lorsqu'il est certain d'être au centre de lui-même, en contact avec son instinct, sa vraie sensibilité humaine, son Moi supérieur.
Peu importe les problème d'un patient: ils ne sont que ceux du moment. Ils ne sont qu'un événement dans son parcours de vie. Ils ne résument pas sa personne.

Même si la source de disharmonie est profondément ancrée, parce que inscrite dans le passé lointain de la personne, même si la maladie ou l'émotion négative durent depuis un certain temps, elle n'est pas ce à quoi le patient doit s'identifier, ni le thérapeute le réduire.
Le thérapeute doit considérer l'autre comme son prochain, son frère humain, et non comme un "cas". Un bon diagnosticien ne procèdera ainsi jamais seulement avec son intellect, mais aussi avec son cœur. La compassion, la connaissance de l'âme humaine, l'expérience de la vie, sont les guides du thérapeute fleurs de Bach.
Même s'il procède, au début, par une catégorisation des symptômes à travers l'aspect négatifs des états émotionnels des patients, correspondants au différents groupes de fleurs, il doit créer une atmosphère de confiance absolue.
C'est à ces conditions seulement que le consultant peut s'ouvrir au thérapeute et surtout à lui-même. Il doit, dans l'idéal, participer au processus de guérison. Il ne peut être totalement passif. Le but principal du soignant est de stimuler le désir de guérison du patient, surtout s'il est découragé ou déprimé.

Le thérapeute ne peut donc jamais faire preuve d'autorité et doit se méfier de ses propres jugements. Il doit être aimant, souple intellectuellement et utiliser son pouvoir d'imagination dans l'accompagnement thérapeutique.
Finalement, en tant que soignant, il faut être conscient, tout comme le soigné, que le succès final réside non dans les conseils, mais dans le pouvoir énergétique des fleurs. Ce n'est pas toujours facile.
C'est une question de foi pour le patient, d'expérience pour le thérapeute.

Publié par Fleurs de Bach et Sahaja Yoga

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