A la porte du Temple, on laisse sa mule, parce que, quelle que soit la force et le courage de notre monture, elle n'est pas autorisée à entrer.
A la porte du Temple, on laisse ses compagnons, parce que, quelle que soit leur fidélité, ils ne pourront parcourir le chemin spirituel à notre place.
A la porte du Temple, on laisse ses bagages parce qu'ils pèsent sur les épaules et encombrent les allées.
A la porte du Temple, on se lave les mains, parce qu'elles ne peuvent être souillées en s'élevant vers le Ciel.
Le Temple est la méditation
Le chemin est notre religion.
La mule est notre corps grossier.
Nos compagnons sont nos pensées.
Nos bagages, nos conditionnements.
Nos mains, nos prières.
Publié par Fleurs de Bach et Sahaja Yoga
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